Il existe différents types de panneaux solaires photovoltaïques sur le marché, chacun ayant des caractéristiques spécifiques en termes de performance et d’efficacité. Lorsque l’on décide d’installer un système photovoltaïque, il est important de ne pas choisir les modules uniquement en fonction du prix. Il faut également tenir compte du rendement souhaité, de la conformation de la toiture et de la surface disponible.
La plupart des panneaux photovoltaïques sont basés sur le silicium cristallin, mais avec des degrés de pureté et donc d’efficacité variables. Souvent, le coût des panneaux et des cellules dépend précisément de la pureté du silicium, car les processus de fabrication sont complexes et coûteux.
Les types de panneaux photovoltaïques qui peuvent être installés aujourd’hui pour un usage résidentiel, outre les différentes solutions de conception, sont essentiellement au nombre de deux : les panneaux en silicium monocristallin et les panneaux en silicium polycristallin, bien qu’il existe également des panneaux en silicium amorphe, moins répandus.
Vous pouvez faire appel à l’entreprise Le Solar Man si vous avez besoin de conseils en matière de panneaux photovoltaïques. Outre les conseils, le groupe vend et installe également ces équipements à Bordeaux et alentours. Le site du spécialiste du système photovoltaïque, lesolarman.fr, regroupe quelques informations intéressantes ainsi que les coordonnées pour se mettre en contact avec la société.
Voici quelques informations utiles concernant les principaux points à évaluer lors de l’analyse des modules d’un système photovoltaïque :
• Coût : les panneaux les moins chers du marché sont ceux en silicium amorphe, qui peuvent offrir un prix par watt installé jusqu’à 30-40% inférieur à celui d’autres modèles. Les modules les plus chers sont les panneaux en silicium monocristallin, tandis que les panneaux polycristallins se situent à mi-chemin entre les deux types de panneaux ;
• Rendement : les panneaux monocristallins offrent le meilleur rendement, surtout si l’on opte pour la nouvelle génération de modèles à haut rendement, qui peut même dépasser 21 %. Viennent ensuite les modules polycristallins et enfin les panneaux en silicium amorphe, moins chers ;
• Surface occupée : il est évident que moins de modules sont nécessaires pour atteindre la même puissance installée avec le monocristallin, en raison de la densité énergétique plus élevée et du meilleur rendement. Avec les modules polycristallins et au silicium amorphe, il faut tenir compte d’un plus grand nombre de panneaux et d’une plus grande surface occupée ;
• Performance à haute température : les modules polycristallins sont ceux qui résistent le mieux aux températures élevées, ils sont donc plus adaptés aux zones géographiques au climat plus chaud et aux températures plus élevées ;
• Performance à basse température : les panneaux monocristallins sont la meilleure option dans ces conditions, car ils offrent une meilleure performance à basse température ou lorsque l’intensité solaire est plus faible ;
• Dégradation des performances dans le temps : les panneaux solaires photovoltaïques monocristallins et polycristallins présentent une dégradation similaire des performances. En fait ils perdent environ 1 % d’efficacité par an, ce qui fait qu’après 10 ans d’installation, ils offrent un rendement d’environ 90 %.
Tous ces aspects doivent être soigneusement évalués lors de la planification d’un système photovoltaïque résidentiel ou commercial. Il s’agit d’analyses complexes qui nécessitent l’appui de professionnels expérimentés et spécialisés dans le domaine des technologies photovoltaïques et des énergies renouvelables.
